France, 1907 : « La comtesse Diane était ce qu’elle était, tout naturellement, naïvement, sans y chercher malice, sans même s’apercevoir qu’on puisse y chercher malice. En cela encore elle n’était point de notre époque, mais bien du siècle dernier, dont elle a les yeux enfantinement fripons, le nez à l’évent, la gorge insolemment découverte, la perruque blanche poudrée à la maréchale, et le visage tout en maquillage avec le coin de la lèvre ponctué d’une mouche ingénument cantharide. »
(Jean Richepin)